Saint-Raphaël, 22 janvier.
Les difficultés financières de la Grèce, la sous-évaluation du yuan chinois et les décisions d’Obama relatives aux banques devraient obliger les institutions européennes à sortir d’un immobilisme que ne justifie pas le retard d’approbation de la nouvelle Commission par le Parlement après la longue période d’attente qui a précédé l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne. Je reviendrai sur chacun de ces points dans les prochains jours. Je note dès à présent le contraste entre la vigueur des décisions d’un président américain, souvent présenté comme velléitaire, et la lenteur désespérante des procédures européennes.
22 janvier 2010
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