Platier, 14 mars L’accord unanime sur la relance du processus de Barcelone devenu Union pour la Méditerranée est une bonne nouvelle. Il reste à voir si les querelles entre les pays de la rive sud permettront des actions concrètes et d’où viendra l’argent. Qu’attend-on pour associer à l’entreprise les pays du Golfe qui ne sont pas plus éloignés de la Méditerranée que le Portugal ou la Mauritanie ?
L’énergie qu’a dû déployer la diplomatie française pour rétablir l’harmonie franco-allemande sur ce projet si mal engagé aurait été mieux employée pour faire avancer la politique d’approvisionnement énergétique, la lutte contre les paradis fiscaux, la politique du climat, le développement des actions de reconversion des travailleurs victimes des délocalisations.
Ratifier le traité de Lisbonne, c’est bien, montrer à quoi sert l’Europe, ce serait encore mieux
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