J'ai envoyé hier à mon éditeur "Lignes de repères" le texte définitif d'un petit ouvrage qui paraîtra en février sous le titre "Aimer l'Europe", quelques semaines avant la célébration du cinquantenaire des traités de Rome.
Le propos de cet ouvrage préfacé par Michel Albert est de décliner en cette saison d'euroscepticisme révélé en France par l'échec du referendum les raisons d'aimer l'Europe, pour ce qu'elle est, un accomplissement historique extraordinaire, pour ce qu'elle pourrait être, si ses Etats membres lui en donnaient les moyens et pour les services qu'elle pourrait rendre à une humanité en manque d'une gouvernance universelle respectueuse des diversités. Les pères de l'Europe ont fait une confiance trop exclusive à la raison. Or une entreprise aussi ambitieuse doit aussi faire appel aux émotions.
Je suis donc enfin en mesure de reprendre mon commentaire de l'actualité européenne. Je prie mes amis d'excuser cette longue interruption (depuis la fin juin).
13 décembre 2006
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