12 février 2007

Un frémissement Suite

Se sont exprimés notamment au cours de ce colloque les anciens ministres Dominique Strauss-Kahn, Michel Barnier, Etienne Davignon, les Commissaires européens Barrot et Mandelson, l'économiste Fitoussi, le député européen Jean-Louis Bourlanges, l'ancien Commissaire et actuel ministre des Finances d'Italie, Tommaso Padoa-Schioppa, Jean-Marie Colombani, Jean-Claude Casanova, Anne Lauvergeon, le Maire de Paris Delanoë, André Azoulay, conseiller du roi du Maroc. L'ancien Premier ministre et promoteur du non au traité constitutionnel, Laurent Fabius n'a pas hésité à se faire l'avocat d'une avant-garde... François Bayrou a analysé les raisons du non tout en soulignant la nécessité d'un nouveau referendum de réconciliation des Français avec l'Europe. La thèse contraire a été défendue par le président de la Fondation Robert Schuman au nom du principe de précaution.
Une volonté unanime s'est exprimée, à travers des analyses très diverses, en faveur d'une relance d'une Union jugée plus nécessaire que jamais.

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